la nuit instille des rêves étranges, qui laissent un goût de mort,
de revolte et de haine. Mais le matin me prends
et d'instinct je balaie toutes ces images noires
qui répètent inlassables que la vie est douleur
les choses bougent, trop vite, et j'ai peur de me perdre
mais le souffle invincible coule enfin dans mes veines
loin des trentes pilules des doses journalières
je reintègre enfin ce corps qui me pèse
au delà des larmes il y a la victoire
on y croirait presque.
Pocket letter Papillon
Il y a 5 ans
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