Sur son blog Mag dit qu'on l'apprend dès le premier jour de cours de ce sport à propos de son fils Mano de 4.5 ans qui a la chance de s'adonner à celui-ci, in situ puisqu'ils viennent fraichement de s'installer en Nouvelle Zélande... Alors j'enquête:
"Sans Maori, pas de haka, puisque l'un d'entre eux doit obligatoirement conduire la danse. (Il est même arrivé de faire appel à un Maori remplaçant le temps d'un haka) Sinon, la magie noire cesse. Le haka est un rite de la culture maori qui peut exprimer la joie, la colère, le désir de vengeance. Comme disent les anciens : Kia korero te katoa o te tinana, le corps tout entier doit s'exprimer. Ainsi, chaque geste, chaque expression porte un nom bien spécifique. Le pukana, par exemple, est traduit par des yeux exhorbités, rivés dans ceux de l'adversaire.
Le whetero correspond au mouvement de la langue, utilisé seulement par les hommes.
Le ngangahu est similaire au pukana, mais ce dernier est pratiqué par les deux sexes.
Enfin, le potete (interdit aux hommes) est l'art de cligner des yeux à différents moments de la danse."
Et oui les filles aussi ont leur haka! Mag, tu t'y met dis? (pour les tatouages, euh...)
source (magnifique):
http://unangepasse2.spaces.live.com/blog/cns!F81BDD6D5CBFB190!1403.entry
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