ça y est on est décalées, de toute façon il faut commencer tôt la peinture avec cette chaleur...Odieux débarras tu vas devoir quitter la chambre et remplir à qui mieux mieux le salon pour dégager les murs de la chambre. On regarde note équipement et top départ pour Leroy acheter peinture des plinthes et qq outils. Avant on avait démonté et sorti ce qui pourrait nous gêner. Le matelas est dans le salon pour qq jours encore!Patience. Et bien c'est le maitre mot qui définira la journée..;1 )décoller cet affreux papier peint bleu de merdeuh. (pour dégager le haut des murs ras le plafond et le cas: les plinthes décollage= concours du plus petit millimètre de papier enlevé d'un coup avec succès, la galère...On se lance enfin dans la peinture, Val fait le plafond d'un coup d'un seul vers 11h50, moi barbouillée de l'odeur je fais une pause. je l'admire Bon gré mal gré ça avance et à 17h: l'horreur: panne de peinture (plinthes, porte et fenêtre)!!! déjà qu'on tirait sur le collier pour se dépatouiller: en plus l'affreux rose crème dessous nous avait obligé à faire deux couches. Bon ben pas le choix: repartir à Leroy (seul ouvert le dimanche) reprendre de la peinture, il fait une chaleur terrible et ici ça pue la penture et ça nous rase les couettes hachées menues comme qui dirait. (non je n'ai pas fais de faute de frappe), allez dernier coup de rouleau, pinceaux etc...on rapatrie un minimum de choses dans cette pièce malodorante mais belle. Enfin l'apèro, enfin le break: QU'ON NE NOUS PARLE PLUS DE PEINTURE!!!
Dodo dans le salon, très rigolo mais casse-geule. Val peine à y ramper vers 22h00 pas encore sonnées tant elle es naze, je tiens jusqu'à 22h40 et m'écroule....
Pocket letter Papillon
Il y a 5 ans
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